vendredi, 12 avril 2024 18:49

Fermeture temporaire de Chorus

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Chorus DTDu 26 avril au 13 mai prochains, le progiciel Chorus qui gère toute la comptabilité de l’État va subir une grosse mise à jour qui impose son arrêt pendant 15 jours.

Cette opération d’une ampleur inédite a été préparée par les services mais devrait tout de même avoir un impact sur les activités d’engagement et de paiement, notamment le paiement des frais de déplacement des agents.

 

En effet, le remboursement des frais de déplacement saisi dans l’application Chorus DT sera impossible durant toute la période de fermeture.

 

L’UNSA vous conseille d’anticiper cela en saisissant vos frais avant la période ou en demandant, via l’application, le paiement d’une avance sur frais.

 

Afin d’accompagner au mieux les agents et les services, le Ministère a mis en ligne une FAQ disponible seulement en intranet au lien suivant :

 

 

 

https://intra.portail.e2.rie.gouv.fr/fermeture-de-chorus-foire-aux-questions-a20717.html

 

 

 

 

 

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Assemblée nationaleL’UNSA Fonction Publique a participé au lancement de la concertation sur le futur projet de loi fonction publique.

Elle a réaffirmé que, pour les agents publics, les priorités sont celles de leur pouvoir d’achat et de leurs conditions de travail. Plutôt qu’un projet de loi, c’est un engagement budgétaire qui serait nécessaire pour répondre à leurs légitimes attentes.


L’UNSA Fonction Publique a rappelé son attachement au statut et à l’unicité de la fonction publique, à l’augmentation annuelle de la valeur du point d’indice et au déroulement de carrière.


Le ministre compte, en trois mois, mettre sur la table les éléments de son projet de loi. Pour lui, les questions salariales et les conditions de travail seront traitées parallèlement. Dans son projet, il veut aborder l’accès à la fonction publique, les marges de manœuvre des managers, l’évaluation et l’insuffisance professionnelles, le mérite, la mobilité, la protection des agents, la suppression des catégories au profit des filières de métiers…


Pour l’UNSA Fonction Publique, de nombreux sujets pourraient être traités soit règlementairement, soit en appliquant les textes et les dispositifs existants.


Elle demande une transparence dans la concertation avec une connaissance des réels objectifs du gouvernement. Le temps nécessaire doit être consacré à évaluer les effets de la loi de 2019, analyser puis débattre du bien-fondé de ces propositions.


En aucun cas, l’UNSA Fonction Publique ne cautionnera un projet de loi qui porterait des régressions pour les agents des trois versants de la fonction publique. Au contraire, elle revendique des améliorations des conditions d’emploi, de travail et de rémunération.

 

Bagnolet le 9 avril 2024

Luc Farré

Secrétaire général de l’UNSA Fonction Publique

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RéunionVeuillez retrouvez ci-dessous la déclaration liminaire de l’UNSA qui a été lue lors de la formation spécialisée santé sécurité et conditions de travail (F3SCT) des DDI du 2 avril 2024 et le compte rendu de cette instance :

 

 

 UNSA Déclaration liminaire F3SCT DDI 02.04.24 page 0001

 UNSA Déclaration liminaire F3SCT DDI 02.04.24 page 0002

 UNSA Compte rendu F3SCT DDI 02 04 24 page 0001

UNSA Compte rendu F3SCT DDI 02 04 24 page 0002 

UNSA Compte rendu F3SCT DDI 02 04 24 page 0003

UNSA Compte rendu F3SCT DDI 02 04 24 page 0004

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argentCommuniqué des organisations syndicales représentatives de la fonction publique : CFDT, CFE-CGC, CGT, FA, FO, FSU, Solidaires et UNSA.

L’ensemble des organisations syndicales représentatives de la Fonction publique s’est réuni le 04 avril 2024.


Dans un premier temps, elles remercient les nombreuses et nombreux fonctionnaires et agents publics qui se sont mobilisés à leur appel le 19 mars dernier.


Cette journée doit être entendue par le Gouvernement qui doit répondre au profond mécontentement des agents et constant depuis des mois.


C’est pourquoi, nos organisations syndicales rappellent l’urgence de leurs revendications à commencer par l’augmentation générale des traitements et des salaires, notamment par la revalorisation du point d’indice. L’ouverture de négociations salariales doit être une priorité.


De même, elles exigent l’ouverture de négociations sur les carrières afin de redonner du sens à la grille indiciaire et de l’attractivité à l’emploi public. C’est bien la revalorisation de la carrière qui est attendue par les agents et non une rémunération au mérite.

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Enfin, à l’heure où le ministre Stanislas Guérini utilise l’espace médiatique pour multiplier des annonces, nos fédérations rappellent qu’il ne pourrait y avoir d’évolution dans la Fonction publique sans un véritable processus de négociation tenant compte des positions de chacun.


L’exemple du projet de loi Fonction publique dont nos organisations ne sont pas demandeuses est le reflet d’un projet qui n’est que dogmatique et ne répond à aucune des préoccupations exprimées par les agents publics.

A Paris, le 8 avril 2024

 

 

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indice moral avrilUne baisse notable en avril, pour la troisième publication de l’indice du moral des salariés. Passant en deux mois de 5,7 sur 10 à 5,4.


Les différentes annonces gouvernementales en sont certainement la raison.

 

Tour de vis sur l’assurance chômage et réduction des droits pour les chômeurs, stigmatisation des plus fragiles, coupes sombres dans les finances publiques : couplées à une hausse du chômage, ces déclarations inquiètent.
Dans le détail, cet indice met en évidence que les femmes et les agents publics sont les plus inquiets.


Ainsi, les items concernant l’avenir professionnel, le salaire et les perspectives de carrière sont notablement plus bas que pour la moyenne des salariés interrogés.
Les femmes savent bien qu’elles seront les premières à être touchées si la crise s’aggrave. La suppression des 10 milliards dans le budget de l’État associée à des perspectives de suppressions supplémentaires dans les mois à venir inquiètent évidemment les agents publics.

1 salarié sur 2 renonce à se soigner


Dans ce contexte difficile, les résultats aux questions sur la santé apportent un éclairage supplémentaire.


Ainsi, 1 salarié sur 2 a renoncé à des soins pour lui ou l’un de ses proches. Ce résultat particulièrement inquiétant s’explique ainsi :

  • d’une part et en premier en raison de la difficulté d’obtenir une consultation et dans les délais requis,
  • d’autre part en raison du reste à charge trop élevé.L’augmentation des franchises médicales ne pourra qu’aggraver cette tendance, de plus en plus de salariés risquent de se détourner des soins.

 

Indice UNSA du moral des salariés

 

 

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